Le 3 septembre 2015, nous avons entamé un blitz de négociation avec la Ville de Montréal. Les discussions avancent désormais à un rythme soutenu. Ça bouge enfin, la Ville semble réceptive. Le contexte n’est pas propice aux miracles, mais nous n’avons pas l’intention pour autant d’y laisser notre chemise. 

Nous espérons pouvoir nous entendre avec la Ville prochainement, cependant soyez assurés que cela ne se fera pas à n’importe quel prix.

Dans un contexte où nous avons subi, suivant l’adoption du projet de loi 3 qui est devenu la Loi 15, un véritable vol de nos régimes de retraite, le moment est bien mal choisi pour la Ville de tenter de couper dans nos conditions de travail. [cliquez sur le titre pour accéder à l’intégralité de ce contenu]

Membres cols blancs oeuvrant à la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM), dans notre dernière communication avec vous, en juillet, nous vous avons informés que la négociation prenait une pause pour l’été à cause de la période de vacances et de l’impossibilité pour les parties d’agencer leurs disponibilités.

Or des modifications aux agendas ont permis aux parties de tenir deux rencontres de négociation en août. Ainsi, les discussions se sont poursuivies les 18 et 26 août sur les sujets toujours en suspens.

Les échanges furent bénéfiques puisque nous en sommes venus à une entente de principe en fin de matinée le 26 août. Nous attendons maintenant les textes que doit nous soumettre la partie patronale. (cliquez sur le titre pour accéder à l’intégralité de l’article)

Pauvre madame Chantal Rouleau ! La mairesse de l'arrondissement Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles ne devait pas s'attendre au barrage de questions pointues qu'elle a dû affronter lors de la séance du Conseil qu'elle présidait lundi, surtout celles des syndiqués qui, sous les couleurs des Incorruptibles, sont venus la cuisiner sur des sujets comme la sous-traitance, le régime de retraite des élus, le plan quinquennal de main-d'oeuvre de l'administration Coderre et les enjeux locaux en relations de travail. Visiblement dépassée, l'élue a multiplié les manoeuvres de contournement jusqu'à ce qu'à son grand soulagement, la période réservée aux questions et commentaires soit épuisée. Ce n'est qu'un au-revoir, madame Rouleau !

Le lundi 8 juin, des représentantes et représentants syndicaux des Cols blancs de la Ville de Montréal ont participé à la période de questions de la séance du Conseil de l'arrondissement Ahuntsic–Cartierville pour interroger les élus entre autres sur l’état des négociations en vue du renouvellement de leur convention collective et les régimes de retraite. Cliquez sur le titre pour accéder à la vidéo des échanges !

Le mercredi 3 juin, une centaine de représentants syndicaux des Cols blancs de la Ville de Montréal ont profité de la tenue d’un cocktail bénéfice des amis du parti du maire Coderre pour lancer leur nouvelle campagne : les Incorruptibles !

Élaborée à la suite d’une journée de réflexion consacrée à la mobilisation, cette action, qui sera suivie de plusieurs autres, vise à dénoncer les demandes scandaleuses de la Ville formulées le 8 décembre dernier qui auraient pour impact d’amputer 12 % de notre rémunération globale.

En déposant ces demandes, son directeur général Alain Marcoux a fait table rase de 18 mois de négociations, ce qui nous a obligés à déposer devant la Commission des relations du travail (CRT) une plainte pour négociation de mauvaise foi contre l’employeur. On s’attend à ce que la CRT rende sa décision durant la saison estivale ; d’ici là, les pourparlers sont suspendus. (cliquez sur le titre pour accéder à l’intégralité de l’article)

Le mercredi 3 juin était un grand jour pour le maire Coderre, qui tenait un important cocktail de financement pour son parti au Palais des congrès de Montréal. Des Cols blancs de la Ville de Montréal se sont invités à l'événement vêtus de leurs nouveaux atours... ceux des Incorruptibles !

Aux membres participants des régimes de retraite des ex-banlieues Anjou, Lachine, LaSalle, Montréal-Nord, Outremont, Pierrefonds, Roxboro, Saint-Léonard, Saint-Laurent et Verdun Offre de conversion Le SFMM et la Ville de Montréal ont signé l’entente sur l’harmonisation des régimes de retraite (EV-2012-0009) le 15 février 2012. Elle prévoit que les participants des ex-banlieues ont l’option de convertir leurs droits antérieurs au 1er janvier 2012 en fonction des dispositions du régime Montréal. (cliquez sur le titre pour accéder à l’article complet)

Depuis l’arrivée en poste de son directeur général Alain Marcoux, la gestion de la Ville de Montréal s’est mise à ressembler de plus en plus à celle de la Ville de Québec sous son règne. Plus qu’un emprunt de pratiques ou que de coïncidences dues au hasard, la ville de Montréal est en train de devenir une succursale de la ville de Québec, en voici des exemples... (cliquez sur le titre pour accéder à l’intégralité de l’article)

Le 10 mars, le maire Coderre a dit et répété durant la séance du Conseil d’arrondissement de Ville-Marie qu’il ne voulait pas négocier sur la place publique (visionnez la vidéo sur http://bit.ly/1GysbcZ). Le 17 mars, la Ville a mis en ligne la quasi intégralité des demandes patronales. Se pourrait-il qu’il parle des deux côtés de la bouche ?

À notre avis, l’intention de l’employeur de diffuser par l’intermédiaire d’un site informatique « les informations pertinentes ainsi que l’évolution des négociations » auprès des employés constitue clairement de l’ingérence. Si vous recevez des communications sur les négociations directement de vos gestionnaires, veuillez en aviser vos représentants syndicaux. (cliquez sur le titre pour accéder à l’intégralité du communiqué)

Nous devons dire NON à toutes les coupures annoncées par la Ville de Montréal. Devant le manque flagrant de respect que démontre le directeur général Alain Marcoux et après plus de 20 mois de négociations stériles, nous devons faire connaître notre mécontentement aux élus municipaux et à la population. Par-dessus tout, nous demandons une nouvelle convention collective juste et négociée de bonne foi. 

L’avenir de nos conditions de travail repose sur notre présence !