Depuis 2020, l’Organisation des Nations unies a décrété le 28 septembre comme La Journée internationale de l’égalité de rémunération. Selon des données de 2022, les femmes sont en moyenne payée 20 % de moins que les hommes.

Statistique Canada, quant à elle, enregistrait un retard de 32 % en 2020 pour les femmes travaillants à temps plein. Cet écart était encore plus important chez les femmes racisées (33 %), chez les femmes autochtones (35 %) et deviens presque surréaliste chez les femmes handicapées qui gagneraient en moyenne presque la moitié moins que leurs collègues masculins (46 %).

Beaucoup de chemin a été parcouru et on peut voir que certaines provinces ont mis en place des mesures progressives qui ont incité les employeurs à s’améliorer. À ce titre, la ville de Montréal fait office de bon élève de la classe dans l’ensemble, mais tout n’est pas parfait. L’Employeur se traîne les pieds dans le récent exercice de maintien de l’équité salariale qui met en lumière certaines disparités que auxquelles nous voulons remédier pour atteindre un jour une vraie équité salariale, mais aussi une égalité des chances entre les femmes et des hommes.

Restons unis pour l’équité

L’équipe du SFMM (SCFP)